La résolution des implicits Scala, une liberté qui a un coût
La résolution des implicites scala prennent place lors de la compilation. Mais comment en être sûr ? Prenons un exemple simple…
Chez Meritis, nous sommes convaincus que la transformation numérique passe avant tout par la transmission de la connaissance et des bonnes pratiques. C’est pourquoi ce blog se veut un lieu d’échange que vous ferez vôtre, nous l’espérons. Il est aussi le résultat d’une belle et intense aventure humaine qui a créé des liens, suscité des vocations, provoqué des changements.
La résolution des implicites scala prennent place lors de la compilation. Mais comment en être sûr ? Prenons un exemple simple…
Les implicits sont des concepts qui peuvent sembler “magiques” et assez déroutants quand on tombe sur eux pour la première fois. Néanmoins, pour peu que l’on en fasse bon usage, ils peuvent simplifier la vie des devs. Mais qu’entend-on par “implicits” ? À quoi servent-ils ? Comment fonctionnent-ils ? C’est ce que nous allons tenter de comprendre.
Comme tous les ans vers la fin du mois de mai s’est tenue la conférence NCraft à Paris. Vous ne connaissez pas ? Dommage. Il s’agit d’un rassemblement de passionnés du développement applicatif qui viennent partager et échanger sur les nouvelles pratiques. Un événement qui s’inscrit dans la tendance du “software craftmanship”, cette fameuse méthode qui met en avant le savoir-faire des développeurs et la bonne conception des logiciels. Dans ces rassemblements, l’important n’est pas tant les technologies évoquées que les pratiques des uns et des autres et le partage des expériences. Et le moins que l’on puisse dire c’est que cette année encore les conférences de NCraft 2017 ont été riches d’enseignements.
La volatilité est une mesure de la dispersion d’un prix qui se révèle très utile pour le pricing et l’évaluation du risque. Pour la calculer, il existe différents modèles : l’”historique”, simple mais sensible aux mouvements inhabituels, l”’implicite”, populaire, mais reposant sur des hypothèses discutables, et enfin le “SABR”, fiable mais coûteux et difficile à paramétrer. Petit tour d’horizon des avantages et des inconvénients des uns et des autres.
Depuis leur première apparition à la fin des années 90, les méthodes agiles (Scrum, Extreme Programming…) ont progressivement pris le pas sur les méthodes dites traditionnelles (cycle en V, Waterfall,…). Le processus itératif de l’approche Agile, propice à la réactivité, favorisant la communication et l’échange des intervenants au projet, semble gommer les inconvénients de la gestion de projet de type classique, et son fameux et fumeux « effet tunnel ». Représente-t-il pour autant systématiquement la meilleure des démarches ?
Le pattern matching, ou filtrage par motif, est un des outils de programmation fonctionnelle dont les capacités sont parmi les plus subtiles à apprécier pour les développeurs, surtout s’ils font beaucoup de programmation objet. Si vous l’avez déjà rencontré, vous l’avez certainement comparé (au moins dans un premier temps) à une série de if voire d’instructions switch sous stéroïde. Il peut d’ailleurs tout à fait remplacer cette instruction. Mais en réalité, l’intérêt du pattern matching réside dans sa capacité à déconstruire l’encapsulation en posant des conditions de structure afin d’extraire des valeurs et de les manipuler. Bref, c’est une façon très commode de traiter les données. Et je vais vous le démontrer.
Le Monde Informatique met en avant la 5ᵉ édition de Code On Time, un concours de code immersif signé Meritis. Revivez l’expérience sur CodeOnTime.fr !
Le Journal des Entreprises parle de la labellisation B Corp™ de Meritis, une reconnaissance de son engagement sociétal et durable.
Nous sommes fiers de vous annoncer que Meritis rejoint B Corp, la communauté d’entreprises qui se place au service du bien commun.